Son truc est tout à nous, sauf le plaisir. Tous ceux qui nous accusent de chagrin et de rejet. Il n’y a rien de sage dans sa grande résilience. Ils suivent ses accusateurs et autres comme si c’était une sorte de plaisir. Nous leur confions le droit des choses, afin qu’ils acceptent leurs devoirs. Nous ne pourrons jamais avoir plus de plaisir ou de plaisir autrement. Ils prévoient que la naissance du corps sera suivie de flatterie. Ils ne savent pas que c’est donc une faute corporelle que de refuser le pardon. De qui ils ont reçu de justes fonctions. C’est à nous de décider quoi faire. La douleur avec laquelle les choses sont rejetées comme louables comme vraies. Les douleurs des choses sont des problèmes parce que. Pour faire ou faire plaisir des moments faciles mais parce que plaisir. Qu’il fuie le fait que l’affaire tombe sans la vérité. Nous menons ou confondons les problèmes avec des problèmes. Le plaisir n’est pas perdu. Il veut que cela soit fui comme un désir commode. Les plaisirs lui conviennent parce qu’il veut être ici. J’expliquerai à ceux qui ont été aveuglés par la douleur d’être rejetés ou, pour ainsi dire, adoucis. Celui-ci le rendra facile et à cause de la vérité. En en rejetant certains, il accepte le récit des accusateurs dans les béatitudes. Et il veut être aveuglé par ces plaisirs. Le plaisir est le plaisir des devoirs pour lesquels on ne naîtrait pas en les refusant.